mercredi 28 novembre 2012

CLASSE 68


TOUT A COMMENCÉ EN 2008, L’ANNÉE DE LEURS 60 ANS. ILS AVAIENT TOUS PASSÉ LEUR ENFANCE À THAON-LES-VOSGES DANS LES ANNÉES 50.

Ce fut le repas des 60 ans le 26 octobre 2008
Au Parc des Expositions à Épinal


Vous trouverez article après article les moments importants de nos amis de la classe 68
(classe de Maryse Laval-Frayard, initiatrice du projet), au cours des précédentes années.












mardi 27 novembre 2012

LE BÂTIMENT DES BERNADETTES RÉHABILITÉ


Vosges matin 29 février 2012

Sœurs Bernadette : le passé passe le relais 
L’histoire des Sœurs Bernadette est intimement liée à celle de Thaon. C’est à la fin du XIX e siècle que l’abbé Bogard, curé de Thaon, eut l’idée de rendre l’enseignement du catéchisme plus vivant et plus compréhensif pour les petits. Cette idée était d’enseigner le catéchisme par le dessin avec un croquis simple au pochoir (silhouettes noires sur fond blanc). Des centaines de dessins qui constituèrent une méthode révolutionnaire permettant d’éliminer toute barrière linguistique et s’exportant dans 58 pays. Un volet parmi d’autres de l’héritage des Sœurs Bernadette.



Les travaux de réhabilitation en une maison communale inter-générations du bâtiment qui a abrité la congrégation des Sœurs Bernadette va débuter. Auparavant, la Ville a ouvert une ultime fois l’endroit.

Plus de 300 visiteurs, et de toutes générations, ont voulu s’imprégner, une première fois pour certains des lieux. Ceux qui n’ont pas connu le temps du catéchisme et de l’enseignement par la fameuse «méthode Bernadette» par l’image exportée dans 58 pays, de l’école ménagère, de la garderie, l’internat pour jeunes filles et encore bien d’autres temps forts qui rythmaient la vie d’alors. Une dernière fois pour d’autres qui connurent cette période pas si lointaine. Les Sœurs Bernadette, dont l’histoire est retracée à la salle du patrimoine, ont laissé leur empreinte. C’est aussi pour cela que la ville a décidé que la future vocation du bâtiment serait «inter-générationnelle», en y mixant l’artistique, le culturel, l’associatif, le social, etc. Une deuxième vie qui fera l’objet d’un second opus dans nos colonnes. Retour sur cet après-midi de visites.


Dominique Momon, maire, André Porel, adjoint chargé du patrimoine, et Thomas Visine, responsable des services techniques étaient là pour accueillir les premiers visiteurs dès 14 h face à l’escalier qui sera l’un des témoignages d’exception conservé dans la future structure (voir encadré). Le premier groupe constitué, la visite commence selon un cheminement balisé.
Un premier groupe dans lequel figure Antoine Valsésia, fils du bâtisseur des lieux. « J’étais jeune. Nous venions ici jouer avec les copains pendant les travaux. En ce temps-là, les échafaudages étaient avec des perches plantées dans des tonneaux cimentés. Nous avons toujours gardé de bons rapports avec les Sœurs…» Les pièces sont vides, certains le regrettent mais concède volontiers que c’est logique et ce, d’autant que des visites nocturnes ont déjà été constatées malgré les précautions prises. Joëlle Babé est venue avec sa fille et son gendre. « J’ai couché ici. J’avais 21 ans et n’avais plus de chez moi. J’étais avec les étudiantes que les Sœurs logeaient. Nous avions des boxes.» Laëtitia et David sont venus pour apprendre. Eux habitent depuis 8 ans à Thaon.
Les pièces défilent, leur guide explique le passé mais aussi l’avenir. Ainsi la cour intérieure sera un espace à vivre ouvert débouchant sur la rue de Lorraine. Juste après, les visiteurs pénètrent dans une vaste salle qui de salle de théâtre deviendra un petit auditorium pour l’école des arts musicaux. Et puis, il y a les quelques traces laissées. Comme les vitraux, une baignoire sabot, des radiateurs d’un autre temps, etc. Suzanne et André Adam se souviennent. « Je venais à l’école maternelle ici. Il y avait aussi des expositions et puis l’école des arts ménagers pour les jeunes filles de la campagne.» La visite ira jusqu’aux combles pour un point de vue sur Thaon, et l’impression d’approcher le clocher de l’église Saint-Brice voisine. Avant de partir, les visiteurs pourront s’attarder sur les plans de la «maison inter-générations». La nouvelle vie des Bernadette peut commencer. 


Un escalier d’exception
La future «maison inter-générations» aura une architecture qui va mixer l’ancien et le contemporain, comme pour la partie qui recevra la maison des arts musicaux. A l’intérieur, l’escalier central sera conservé, ce qui constitue une exception aux obligations.
Cette dérogation a pu être obtenue au regard de la conception de l’ouvrage. Celui-ci est un escalier suspendu, sans portant, et dont le matériau principal est de la pierre de Comblanchien. Cette pierre de dureté comparable au marbre fut notamment utilisée pour la construction des marches de la nef du Grand Palais ou encore pour l’opéra de Paris.



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lundi 26 novembre 2012

140 ANS DE GYMNASTIQUE RACONTES


 Article écrit en 2012

Vosges Matin du 23/09/2012

«La gymnastique à Thaon-les-Vosges : une belle histoire» C’est l’ouvrage réalisé par Michel Guéry pour les 140 ans de la discipline thaonnaise. Son auteur lance une souscription.

Michel Guery espère collecter les 350 souscriptions qui lui permettront de faire éditer l’ouvrage.
Michel Guéry n’est pas un inconnu à Thaon, loin s’en faut. Thaonnais d’origine, il est aussi le fils à Daniel Guéry, figure emblématique de la gymnastique thaonnaise qui s’est retirée en 1999 après des décennies au service de cette discipline. Comme lui, il a baigné dedans très tôt. Mais il a fallu une occasion précise, pour que Michel découvre, puis déroule le fil de l’histoire de cette vénérable dame qu’est l’ES Thaon gymnastique, la plus ancienne de toutes les activités sportives thaonnaise…
Cette dernière est née en 1873. Et c’est en 2003, pour le gala des 130 ans, que Michel Guéry commencera à remonter le temps avec elle. Une simple acceptation pour faire un feuillet de quelques pages retraçant l’histoire de la gym, à présenter pour le gala d’alors, et le voici qui, au fur et à mesure de ses recherches, prend conscience qu’aucune base, aucun support, n’existe sur les données historiques de plus d’un siècle de faits d’armes sportifs, d’une section qui pourtant donna à la France un champion du monde !
Mais il y a aussi autre chose. Il y a l’histoire de Thaon, qui est forcément fusionnée avec, tant la vie de ces gymnastes, de ces hommes et ces femmes est tout simplement la vie du Thaon d’hier à aujourd’hui. « D’ailleurs, la gym d’autrefois n’avait rien à voir avec celle d’aujourd’hui. Elle a suivi l’évolution de la société ». Et l’auteur de continuer : « l’histoire était tellement belle que je me suis pris au jeu. Au fur et à mesure, c’est l’histoire de la BTT, de la ville… qui est passée en revue ».
Une histoire dans l’histoire
Neuf ans après les premières recherches, l’ouvrage est prêt à être édité. Un livre de 220 pages, qui fait la part belle aux photographies avec plus de 900 documents reproduits, des textes, des photographies d’hier à aujourd’hui. Il paraîtra en autoédition et sera réalisé au cours du mois de juin 2013. Une date qui n’est pas anodine, puisqu’elle correspond au gala que donnera l’ES Thaon gymnastique pour fêter ses 140 ans.
« C’est aussi l’histoire de tous les Thaonnais qui ont pratiqué ce sport mais aussi celle de leurs parents, grands parents. »
Reste maintenant à obtenir les souscriptions nécessaires. À partir de 350, le livre sera édité. «Le but n’est pas de faire de bénéfice, mais simplement d’avoir un recueil pour que l’histoire ne soit plus dispersée, avec le risque qu’un jour elle ne s’efface des mémoires » Tout est dit.

Michel Guery espère collecter les 350 souscriptions qui lui permettront de faire éditer l'ouvrage

CONTACT : guery.mcl@gmail.com




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dimanche 25 novembre 2012

LES DERNIERS JOURS DE L'OCCUPATION


 Article écrit en 2012


Vosges Matin 24.09.12

Du 14 septembre 1944 jusqu’au 24 septembre, jour de libération de la ville, dix journées palpitantes entre espoir et déception, à revivre intensément.

Destruction, à la libération, de l’atelier teinture de la BTT de Thaon par un obus tiré d’une automitrailleuse.
Le 14 septembre 1944, une voiture blindée de l’armée Patch venant d’Épinal en reconnaissance arrive à Chavelot et aperçoit des Allemands montant vers la côte de Chavelot côté Thaon. Une rafale est tirée des deux côtés alors que deux civils voyant le sigle américain sur un véhicule sortent avec un drapeau bleu blanc rouge. Ils sont en plein sur la trajectoire des tirs. Bilan : un mort (Paul-André Mathieu) et un blessé grave, son papa (Joseph-Eugène Mathieu).

 Destruction à la libération de l'atelier teinture de la BTT par un obus

Le 18 septembre, à 1 h 35 du matin, les ponts minés par les Allemands en fuite sautent l’un après l’autre. Cela commence par le pont du Canal de l’écluse 20 puis le 19 Igney et les 20 et 21 Chavelot ainsi que le pont qui enjambe le canal vers Girmont, la passerelle de l’Eau-Blanche puis le pont surplombant le canal de l’usine et enfin le pont de Girmont sur la Moselle.
Le 19 septembre : le capitaine Aron de la 2 e D.-B. se trouve en position délicate. Il commande en adjoint le groupe du 2 e Génie divisionnaire et sa section est en arrêt obligatoire entre Châtel et Moriville côté forêt de Fraize et le ravitaillement ne suit plus. Il attend des munitions, de l’essence et tout ce qui est utile à ses troupes. Le capitaine demande à une automitrailleuse d’aller en avant-garde à Thaon via Igney. Celle-ci se fait tirer dessus à hauteur de la Héronnière par des Allemands repliés en défense sur la route entre Vaxoncourt et Girmont.
Le 21 septembre : une autre automitrailleuse s’infiltre jusque dans Thaon-les-Vosges s’arrêtant à la hauteur des Ets Gérard-Faintrenie face à la boulangerie Seigner. Les gens sortent de partout avec des drapeaux français et alliés croyant à la libération. Il faut déchanter. Les soldats demandent s’il y a des Allemands et à la réponse négative demandent où ils peuvent rencontrer le maire M. Ehrwein et recommandent de ranger les drapeaux en promettant de revenir bientôt.

Une jeep de l'armée Leclerc de la 2ème D lors du feu à la boulangerie Seigner le 24 septembre 1944 

Le 24 septembre à 9 h du matin : enfin, un très gros détachement (jeeps, automitrailleuses, tracks et chars légers) arrive par le nord venant de Nomexy. La 2 e D.-B. fait son entrée triomphale dans Thaon. Aux renseignements, les Allemands en petits groupes sont vers le canal de l’Est, ils se replient par le Cours (place Jules-Ferry) vers la BTT. Quelques coups de mitrailleuses sur la BTT font quelques morts et blessés dans les rangs des Allemands qui se rendent très vite. Un bâtiment est en feu et va vite s’effondrer dans une gerbe d’étincelles. C’est fini. Tout Thaon est dans la rue principale. On rit, on chante, on danse… quelle joie. Ce jour restera inoubliable. Un avion Pipet-bule sillonne le ciel en tournant sur la ville, c’est un avion blindé de reconnaissance qui renseigne l’armée sur la fuite des Allemands en débâcle qui se replient vers Rambervillers.
Il est 14 h et nous voyons les gars de l’armée regagner leurs véhicules, ils retournent vers Nomexy. Bien vite ils nous rassurent : ils sont rappelés pour passer la Moselle à Châtel où un pont Bellay a été lancé sur la rivière, en vue d’aller sur Rambervillers et Baccarat puis Strasbourg alors que les blindés de l’armée Patton dévalent la rue de la gare pour prendre la relève. C’est fin, nous ne reverrons plus d’Allemands à Thaon.
Ce dimanche 24 septembre fut merveilleux.


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mercredi 21 novembre 2012

DES NOUVELLES DE LA CLASSE 72


La classe 72 a fêté ses 60 ans le 20 mai 2012

Contacts : Denise Jacquemin (Marotel) 03 29 39 38 09




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mardi 20 novembre 2012

DES NOUVELLES DE LA CLASSE 63


J'ai reçu de Michel AUBRY le mail suivant :
 

"Je suis Michel AUBRY né à Thaon le 23/11/1943, scolarité à Gohypré, Ecole du Centre et Lycée, je demeurais 22 rue Gambetta, mon Père René AUBRY dit "Toby" a été pendant plusieurs dizaine d'années gymnaste, moniteur et membre du comité de l'EST (section Gymnastique). Je suis Président de la Classe 63 depuis le 12 octobre 1961 et à l'occasion de nos 50 ans nous avons repris contact et nous nous  réunissons tous les ans (3ème dimanche d'avril) pour conforter notre amitié. Ayant découvert votre site, et possédant vos livres dédicacés sur le Village Nègre, je me permets de vous adresser un album-diapo que j'ai réalisé cette année et que je serais heureux de partager avec les consultants de votre site, pouvez vous inclure ce document pour tout ou partie dans votre site? Avec mes remerciement je vous donne mes coordonnés : AUBRY Michel 18 rue Emile Coué 54000 NANCY - Tél : 03 83 40 54 81:"

 

C'est bien volontier que je mets à disposition le diaporama en format pps classique. Pour le charger, il suffit de cliquer sur l'image suivante



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lundi 19 novembre 2012

CLASSE 66 ... HOMMAGE À MARIE-LAURE


Marie-Laure Pierre nous a quitté le 15 octobre 2011




Tu étais notre amie et tu nous a quittés.
Nous avions, avec toi, passé notre enfance et notre adolescence en toute simplicité, avec de la joie, avec des rires et  de la bonne humeur. Et puis, comme à tout le monde, la vie nous a pris notre enfance.
 
Tu étais notre amie et nous nous sommes vus et revus au détour d'un chemin, d'une rue, d'un lieu, d'un hasard si bénéfique. Toujours avec bonheur.
C'est avec toi que nous avions lancé, il y a maintenant six ans, les premières recherches pour les retrouvailles des 60 ans. 
Tu étais notre amie et avec toi, nous avions formé un petit groupe solide de fraternité. Nous nous rencontrions souvent autour d'une bonne table. Nous parlions de notre jeunesse mais aussi d'avenir.

 


Et puis ...
Et puis il y a presque un an, une récidive de cancer est venu gâcher la fête.
Entre deux "chimio" nous t'avions retrouvée un dimanche de printemps, mais nous ne savions pas que ce serait le dernier, que la prochaine fois la chaise serait vide.


  
Christian et Francette, Daniel et Maryse, Evelyne et Bernard, Denise et Gérard, Arlette et Claude, Jean-Marie et Michèle, Marcel et Bernadette ... et bien d'autres encore.



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dimanche 18 novembre 2012

DE LA BTT À SON SYMBOLE SOCIAL: LA ROTONDE


En 1872, le projet de Jules Favre (associé de la Maison Charles Laederich vallée du Rabodeau) de créer à Thaon une usine de transformation du tissus est réalisé. En 18 mois le petit village de 555 habitants voit surgir une gigantesque usine dans la vaste plaine appartenant à Yvan Koecklin, fabricant de pâte à papier.
Très vite la BTT a resplendi par sa grandeur, par la qualité de ses tissus et par sa renommée internationale.
(voir aussi l'article en cliquant sur la photo ci-dessous)


La construction de la Rotonde en 1913, elle durera plusieurs années (par tranches) 

 Lucien Charton sur la flèche de la Rotonde


La Rotonde fut bâtie autour d'un axe central comprenant la salle ronde (d'où le nom "Rotonde"), prolongée par une salle de théatre de près de 1500 places, elle-même prolongée par une salle de sport polyvalente mais essentiellement  de gymnastique.
Sur l'aile gauche, coté BTT, les bains douches (ouverts à toutes les familles de l'usine) ainsi que des salles de soins et de suivi médical. 
Sur l'aile droite, coté canal, au rez-de-chaussée, une salle de loisirs pour cadres et certains agents de maîtrise, à l'étage une salle spéciale ingénieurs et cadre supérieurs (actuellement salle Roland Etienne).
Dans les sous-sols, une salle de gym, une salle de tir, une salle de musique pour "l'harmonie" et les sociétés de chant  "la Concordia" et "la Cécilia"
  
Si aujourd'hui la BTT est en grande partie en friches, la Rotonde, elle, a été entièrement rénovée.

 CLIC... la BTT en friches

 CLIC... une nouvelle vie pour la Rotonde





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samedi 17 novembre 2012

CLASSE 66 .... 2011


Ce 3 septembre 2011, BERNARD PIERRÉ nous a quitté. Il avait participé à la journée des 60 ans avec son épouse Marie-Claire SIMON (elle aussi de notre classe). Nous le savions malade depuis quelques temps. Quelques camarades thaonnais seront présents aux obsèques lundi 5 septembre à l'église St Brice. Nous aurons une pensée toute particulière pour Bernard et Marie-Claire lors de notre prochain repas.




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MARYSE A LES HONNEURS DE LA PRESSE

Article écrit en février 2011




EXTRAIT DE VOSGES-MATIN DU 16 FEVRIER 2011
 
Une passion qui n'est pas miniature
 
Aux poupées qui dorment dans un grenier poussiéreux, Maryse Frayard redonne vie. Mais aussi une personnalité et les lumières de la gloire, chaque année le temps d'un week-end


 
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vendredi 16 novembre 2012

LES " MOUSTACHUS"


Article écrit en novembre 2010
 

 

Au début des années 70, au sein de la section Gymnastique Thaonnaise, se crée un groupe aussi surprenant que facétieux : LES MOUSTACHUS  


Pour célébrer le centenaire de la BTT (voir articles sur la BTT), un appel est lancé au cours de la saison 1971/72, à toutes les vieilles gloires de la gymnastique thaonnaise. L'appel est entendu puisqu'un bon nombre ont répondu présents et vont devenir les célèbres "Moustachus"

 1984
Citons parmi les premiers membres : Pierre Adam, Charles Andres, Albert et Martial Arnould, René Aubry, R.Barbesant, A.Colnel, Emile Cornu, Jean Doridand, Jules Dubuisson, J-Marie Febvre, Jean Férina, Joël Flamant, André Formet, Robert Gillot, A. Glaudel, J-Marie Grandhaye, André Grunenwald, Daniel Guéry, Joseph Kippelen, Marcel Leblond, Arthur Magron, Olivier Mansuy, Lucien Mantz, René Mathieu, Fernand Ménéghin, Alfred Monsieur, E. Nicolas, Robert Paradis, G. Perry, Gaston Pierrat, C. Roquard, Albert Sayer, Claude Schaal, A. Thiébaut, E. Troesch, P. Villemin, E. Villemin.
 
Au départ, c'est Arthur MAGRON(*) (98 ans au moment où l'article est écrit, il réside à la maison de retraite où il continue à faire sa gym) qui sera responsable de cette troupe. Puis Robert PARADIS prendra la direction jusqu'en 1998 où André FOLTZER lui succédera jusqu'à son récent décès.
(Arthur Magron est décédé le 20 décembre 2010)

 1974
Les Moustachus vont reconstituer les mouvements d'ensemble et le maniement du bâton comme cela se pratiquait au début du 20ième siècle. Ils ajouteront quelques facéties rendues comique par leur physique et leur embonpoint.
Le public accueillera avec enthousiasme ces drôles de personnages vêtus de collants noirs, d'un maillot noir moulant et affublés d'une moustache à l'ancienne. Ils se produiront pendant près de 20 ans dans toute la Lorraine
 
Ils reste actuellement une poignée d'irréductibles, les Pagel, Sayer, Lombard, Arnould, Simonetti, qui pourraient relancer une nouvelle troupe !!!!



Merci à Michel GUERY, fils de Daniel (Moustachu) pour ces documents et photos.



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jeudi 15 novembre 2012

CLASSE 68 .... REPAS DE 2010





19 septembre 2010, la classe 68 de Thaon-les-Vosges fêté ses 62 ans
 
C'est au bord du lac de Bouzey, un lieu mythique pour tous ceux qui ont passé leur enfance à Thaon, que nous nous sommes retrouvés à une soixantaine par un temps magnifique.
Lorsque nous étions jeunes, nous nous rendions à Bouzey presqu'exclusivement à vélo.


 





DIAPORAMA MUSICAL




Si vous voulez voir les photos en vrai grandeur (entre 1 et 2 Mo), ce qui permet de les copier sur votre ordi dans une très bonne résolution puis imprimer celles qui vous intéressent il suffit de cliquer sur la photo du lac de Bouzey pour y avoir accès:




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